Description du blog…

Eh ouais, tu rêve pas, tu est bien tombé sur le blog BD du plus mauvais dessinateur de la blogosphère, et en plus comme chuis fauché le scanner fait qu’empirer les choses, quand à la couleur, je crois qu’on peut oublier; Alors ne t’attend pas à du grand art, ici tu ne trouvera que des BDs super mal dessinés et des nouvelles et poèmes bourrés de fautes d'orthographes. au mieux je peut peut être te rediriger vers des blogs un peu moins mal fichus.

Bon ben te voila prévenu(e), mais si tu veut toujours pas aller voire ailleurs, alors la je peut plus rien pour toi à part alimenter ce fichus blog régulièrement… ET MERDE, J’AI SIGNÉ POUR 5 ANS !!!

allez à plus, et en attendant, n’oublie pas ta serviette.

Signé Zephyr le dessirateur

samedi 22 octobre 2011

À poster le 12 octobre au plus tard

Euh… Salut les ptits fantômes qui hantent mon blog.

Bon, comment dire… en fait, depuis la rentré, les choses se sont un peu compliqués pour moi avec les cours, les controles et mon code. ce qui explique en grande partie l'énorme retard que j'ai pris sur mes publications.
Donc je vous annonce que la partie 2 est enfin terminée, avec un bon mois de retard.

Bonne lecture et on se retrouve tout de suite après pour d'autres explications.

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-Euhhhh c'est quoi ce patelin? Trycia avait éteint sa clope et scrutait les maisons environnantes d'un aire dubitatif
-Sait pas mais y a une station service, sa tombe bien, j'ai plus d'essence. Et Marty dirigea son tacot vers la seule pompe à essence encore éclairé.
Tandis que Marty faisait le plein de sa voiture, Dana et Trycia se dirigeait vers la petite boutique de la station, histoire de se dégourdir les jambes et de s'acheter des clopes. En poussant la porte de la modeste échoppe Les deux filles remarquèrent instantanément le calme absolu régnait en ces lieu, alors que ce genre d'endroit, si peu fréquenté soit il, comporte toujours un élément instaurant un semblant d'ambiance, une radio, un caissier endormis, voire juste la saleté ambiante. Mais là... rien, pas un bruit, pas une tache, pas une marchandise sur les étagères...
-Dites, l’essence est vraiment pas chère ici, 1€20 le litre à peine. Marty tira ainsi brusquement les filles de leurs réflexions sur cet étrange garage. Il constata lui aussi le vide du magasin, ainsi que l’absence, nettement plus problématique pour lui, d’un caissier. Il haussa les épaules et se dirigea vers les toilettes, lâchant une dernière remarque,
-Si vous voyez un employé, dites lui que je vais venir payer.
Sur ces sages paroles, Marty prit la direction des commodités, toujours aussi indiférent à l’étrangeté ambiante.

Note de l’auteur:
je vais vous épargner la description de ses activités intimes pour me passer directement au résumé de ses pensés alors qu’il se lave les mains. Il en sera de même pour tout passage se déroulant en un lieu d’aisance, et ce quelques soit le personnage concerné(e).
Marty fixait pensivement son reflet, ou étais-ce le reflet qui fixait Marty… Toujours est il que l’un fixait l’autre d’un regard emplis d'indifférence, de lassitude et d’un sacré paquet d’heures de sommeil en retard. Mais il n’y avait pas que du vide dans cet échange de regards (Étonnant non?). Un observateur réellement au fait du fonctionnement de l’esprit de Marty saurait qu’en réalité ce regard vide e indifférent dissimule une intense réflexion… ou au moins une réflexion bien existante.
Mais nul n’est au fait di fonctionnement de l’esprit de Marty, lui même inclus, il me fait donc vous retranscrire un résumé correcte de ses pensés afin de faire progresser le récit.
Un coup d’oeil à sa montre indiqua à Mary qu’il était minuit passé. C’est à partir de cette information somme toute anodine que la remarque suivante vas lui venir à l’esprit; «Qu’est ce que faisaient ces deux jeunes filles seules, sur le bord de la route, à 50 bornes du premier village, et en pleine nuit?» Une fois lancé sur ce débat, il continua vers une réflexion plus personnel; «Pourquoi étais-je moi même sur cette petite route? Ce n’était pas du tout le chemin prévue, normalement, j’aurais dus emprunter les grandes départementales, et me voila perdu en pleine campagne». De ce constat, une autre remarque le tourmenta; «Sa doit faire plus d’une heure que je n’ai croisé aucune voiture, ni rien de vivant mis à part ces deux filles. Même dans le plus paumé des villages, on croise au moins un chat errant ou une autre bestiole du genre. Mais là rien.»
Alors qu’il s'apprêtait à se laver les mains, une dernière pensée lui traversa l’esprit; «Pourquoi Napster reste elle aussi calme se soir? D’habitude, les longs voyages en voiture sa ne lui plait pas mais là, elle n’a pas bronché au moment de monter en voiture.» Concluant cette séance de réflexion personnels par un long bâillement, il préféra retomber dans sa torpeur cérébrale, mettant toutes ses questions sur le compte du manque de sommeil. Toutefois, juste avant de sortir, une inscription sur l’un des coins du miroir attira son attention à peine plus d’une seconde. Cette inscription, gravé à l’aide d’un objet pointue non identifiable, permettait de lire ceci: <<si vous lisez sa, fuyez>>.
Ne saisissant pas immédiatement le sens de cette inscription, Marty reporta son attention sur la poignée de la porte et l’abaissa.
Lorsque Marty revint des toilettes, le même silence troublant teignait les environs, seul l'impertinent grésillement des néons venait perturber le silence. Les filles étaient partis se réfugier dans la voiture.
Sans attendre cette fois, il fouilla dans sa poche, en sortit deux billets et une poignée de pièces, les recompta brièvement et les abandonna sur le comptoir. Histoire de plonger plus profondément dans le stoïcisme, il se dirigea vers sa voiture et démarra sans le moindre sentiment, son cerveau baignait à cet instant précis dans une sorte de brouillard, aussi dense qu'inintéressant, et pour tout dire, plus inintéressant qu’autre chose.


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Voila, la partie 2 est enfin postée. la partie 3 devrai suivre avant la fin des vacances, quand à la partie 4, je ne sais pas encore. Je tient à m'excuser pour le monstrueux retard que j'ai pris dans mes publications.

Comme d'hab' n'ésitez surtout pas à commenter, même si vous savez à peine lire, sa peut toujours m'être utile.

mercredi 24 août 2011

Le 24, Comme promit…

Alors, voila, comme promis, une mise à jour correcte pour le 24.  tout d'abord, la série "La légende de click" a été enlevé du site, j'ai un problème d'inspiration vis à vis de cette nouvelle, elle reviendra donc mais dans une autre version, mieux préparé.

Comme je ne peut pas laisser ce blog litéraire sans aucune oeuvre en cours de publication, voici "Vert Sproitch", une nouvelle avec des zombies, des filles et votre serviteur dans le rôle principal.

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22h54 à l'horloge de bord, deux paires de phares jaunâtres pressaient la nuit, un vrombissement troublait le calme de cette campagne glaciale. Marty conduisait depuis des heures, avec une chatte endormie pour seule compagnie. Il commençait à s'ennuyer ferme, seul sur cette route perdue en pleine campagne. Dans son ennuis, Il cogitait «pourquoi je fait sa... Y a que moi pour me taper 12h de route pour éviter de payer 40€ de péage. Entre Napster qui dort et la radio qui est en rade, jme fait vraiment chier... PITIER FAITES QU'IL M'ARRIVE UN TRUC»
Aussi tôt dit, aussi tôt fait. Deux silhouettes se dessinèrent sur le bord de la route, au fur et à mesure que l'auto s'approchait, Marty distinguait mieux leurs apparence. Il s'agissait de deux jeunes femmes. La plus grande des deux arborait une tenue rappelant le Style Tank-Girl: Rangers au pieds, Bas en lambeaux, Short retroussé et Top blanc. Elle était paré d'un certain nombre de bijoux style collier de chien, bracelets à clous et autres bagues à tête de mort. Son tatouage sur l'épaule gauche allait bien à l'ensemble… Un vrais cliché de Punk. Sa chevelure courte semblait teinté de reflets bleutés et son visage était agréable, quoiqu'un peu banale. La belle fumait une cigarette dont la cendre rougeoyante se détachait nettement dans la nuit.

La seconde fille, un peu plus petite, arborait une tenue nettement moins décalé. Une paire de tennis, un jean légèrement trop grand, un épais chandail coupé comme une veste et pour seul bijoux visible, un petit collier orné d'une médaille au symboles étranges.
Les deux inconnues étaient assises sur leurs sacs de voyage et semblaient fatigués d'attendre une bonne âme pour les mener à leur destination


(mon petit doit me dit que le destin a voulu les réunires... A moins que se soir mon fait...^^)


-Salut, comment vous vous appelez?
-Moi c'est Trycia et elle c'est Dana
-Cool, et vous allez ou comme sa?
-A paris...
Marty les considéra toute les deux et, d'un signe de la main les invita à monter.Chargé des deux auto-stoppeuses, Marty reprit la route, un léger brouillard se levait à présent, dissimulant peu à peu les abords de la route...
-Vous venez d'ou comme sa? Lassé par le silence ambiant, Marty c'était décidé à faire la conversation à ses passagères.
-Moi je vient de Toulouse. Alors qu'elle prononçait ces mots, Trycia portait une cigarette à sa bouche et fouillait dans ses poches...
-Merde, j'ai plus d'allumettes...
-Tient prend mon briquet, et tu vient d'ou sinon? dit Marty en se tournant brièvement vers Dana.
-Moi? De Lille... 
-Euh... question stupide mais pourquoi vous voyagez ensembles?
-On vas à la même fac, à Nantes.
-Vous étudiez quoi?
-Moi je suit des études d'art. Tout en parlant Dana fouilla elle aussi dans ses poches, elle tira de l'intérieur de son pull un carnet et un crayon et se mit à dessiner.
-Cool, et toi, t'étudie quoi?
-Moi? Médecine... Et toi? Tu fait quoi dans la vie à part ramasser des auto-stoppeuses et des chats errant?
-Fac d'eco à Toulouse... je rentre dans ma famille pour les vacances là. A se propos, pourquoi vous allez toute les deux à paris en plein hiver?
-Moi jvais au concert des MSI et elle elle a absolument 
tenue à me suivre... elle est collante on dirait un petit chien.
-Ehh, t'est méchante..
-N'empêche t'est tout le temps à mes basques, chuis sûre que tu squatte les cours de médecines pour être avec moi.
-Méheuu
-Euh sa vous ennuierais d'évier de vous disputer, merci.À peine avait il prononcé ces mots que le brouillard se leva brusquement, révélant les rues désertes d'une petite ville de campagne.




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Au début de l'été, une blogeuse nommée Misteria XIII a lancé une idée, réaliser une pub pour un chewing gum. En manque d'inspi pour une BD, j'ai décidé de la prendre au mot et de dessiner la BD suivante. C'est toujours aussi bien rendu que pour la BD d'intro du site mais au moins, c'est un peu plus long.





Voila, la prochaine mise à joure sera sans doute moins longue mais au moins elle sera là dans moins de 4 mois.

Ah, un dernier truc avant que j'oublie, aujourd'hui, j'ai 18 ans, je peut donc aller en prison comme me l'a gentiment fait remarquer mon frangin.
Je vais donc profiter de cette journée en me détendant au doux cliquetis d'une Orange Mécanique.
Bonne soirée aux mes frères.

samedi 20 août 2011

parenthèse

Salut les non personnes qui consultes mon Blog…

Bon, comme personne ne semble effectivement s'interesser à mon blog, (Notez, c'est un peu de ma faute, j'y poste pas souvent…) je vais parler dans le vide.

Pour vous faire patienter jusqu'à la grosse mise à jours du 24, voici un poème écrit quand je devais avoir dix ans maxi et que j'ai retrouvé… Quand le blog marchera, je posterai de temps en temps ce genre de chose pour faire patienter entre deux chapitres de nouvelles, un peu comme des interludes quoi…

bon, voici le premier intitulé "Les Verbes"

Les Verbes,
Vous n'irez donc jamais vous rouler dans l'herbe?
Et Pourquoi nous embêtez-vous comme sa?
Vous ne nous aimez pas?
Pourquoi toutes ces exceptions?
Vous ne savez donc pas ce qu'est la paresse?
Vous n'arrêtez pas de vous contredire
Et que voulez-vous nous dire?
Vous nous faites plus de mal que de bien
Et vous n'êtes pas des saints.
1er, 2ème et 3ème groupe
Vous êtes toujours dans le doute
Vous n'êtes pas des philosophes simples
Et à mes yeux, vous n'êtes pas humbles
Et quand on réussit à vous semer
C'est pour mieux nous faire rattraper
En tout cas moi,
Je ne vous apprécie pas.


À l'époque, je nommai toutes mes oeuvres selon leur thème principal, ce qui explique le titre très simpliste. La ponctuation est celle de l'époque, je n'ai rien retouché, ce qui peut rendre le poème un peu dure à lire, faute de poses suffisantes.

Voila, je ferai une nouvelle mise à jours avec nouvelle, BD et tout le schmilblick le 24 août promis.

dimanche 17 avril 2011

Et une BD du dessirateur, une (et pas signé en plus!!!)










 voila la BD, soyez indulgents, après tout je suis un dessirateur. Allez à dans pas longtemps pour la nouvelle.

AARRGG AU SECOURS UN BLOG!!!


Ô toi le kikoo lol, toi le flooder qui entre ici,
toi qui ne parle que par SMS et mots déconstruits
sache que ta place sur mon blog n’est point
alors passe ton chemin, part, fuit, et ne te retourne point

Car si la musique, les manga, les voitures…
et en général tout ce qui touche à ma vie,
trouvera en ce site une place au gré de mes envies,
si ce blog est, c’est pour la littérature.

elle me fait vivre, m’exalte, et à elle je me livre
Zola je dévore et de Baudelaire je m’enivre
les mots sont ma drogue, lire est mon vice
et, un jour, un seul sans livre est un supplice

Car oui, elle est ma passion, ma muse,
elle me prend, m’aime, et m’amuse
l’écriture me procure le plaisir suprême
et mon vice elle demeure jusqu’à l’extrême

Alors ne gâche pas mon tripe par tes avis futiles
d’inculte, d'illettré à l’avis inutile,
Mais si le verbe te fait vibrer, 
si la lettre est ta raison et le mot ton guide

Alors entre, donne ton avis, commente

je te supplie, je t’ordonne, je le veut
aide moi, conseille moi, tel est mon voeux

je t’y invite car ici, je suis ton hôte
qu’importe l'orthographe, les fautes
critique moi, incendie moi, je l’accepterait,
Si le verbe est bon alors je le lirait

et si il est grandiose alors je le vénèrerait.
Car tout bon écrivain le sait,
aucun n’est le meilleurs et tous me surpassent
et par vos mots, les miens s'effacent.


Voila un bon poème pétage de plombs, et NON, je ne suis pas drogué au acides… enfin pas trop.

Bon, pour le poème c'est fait, reste plus qu'à poster la BD et La nouvelle.

Allez, à dans chais pas quand et en attendant, décrochez pas.